28 septembre 2009
Pèse-Nerfs.
*** La poésie d'Artaud ne se lit ni ne se comprend, elle se ressent. Il faut saisir chaque segment, fermer les yeux et toucher du plat de l'âme, du creux de la gorge, du dos de l'oreille les moindres syllabes et leurs implications. La "douleur entière"...